TEMPÊTES & TOURBILLON

Signes des temps actuels, les tempêtes automnales m’auront conduit à initier ces quelques lignes à la lumière d’une bougie, un soir de coupure électrique. Mais, rendons-nous à l’évidence, nous sommes aujourd’hui bien incapables d’agencer et d’imprimer une lettre d’information sans l’aide de la fée électricité…

Les tempêtes que nous avons dû subir doivent nous interroger sur notre dépendance à un réseau aérien parfois fragile et sur l’entretien des haies qui le jouxtent. Notre assujettissement au tout électrique doit aussi nous interpeller sur les moyens d’organiser la meilleure des communications et, surtout, sur les moyens de mettre en œuvre la résilience locale la plus adaptée. Et si vous avez apprécié à leur juste valeur les restrictions lors des sécheresses estivales, si vous craignez la violence des bourrasques de l’arrière-saison, si des abats d’eau exceptionnels vous font redouter des routes et chemins inondés, croyez-en les travaux des experts du GIEC Normand, les décennies à venir n’apaiseront pas les éléments. Il faut s’attendre à des épisodes extrêmes de plus en plus réguliers. En espérant que notre Céphalopole* local (notre territoire regorge d’auteurs de qualité !) n’est pas prémonitoire…

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